Introduction
aux théories de la communication
(d'après les cours de P. SALHANI)
A) Introduction
B) Analyse psychosociale de la communication
C) Qu'est-ce que la communication persuasive ?
D) L'approche cognitive
E) Affect et persuasion
F) Théorie de la dissonnance cognitive
G) La théorie de l'engagement (soumission sans pression)
A) Introduction
connaître la cible, sélectionner
l'information, attirer l'attention de la cible (publicité), utilisation
de l'humour (très utilisé aujourd'hui....)
B) Analyse psychosociale de la communication
I) Définition | |||
La communication
est l'ensemble des processus par lesquels s'effectuent les échanges
d'information et de signification entre les personnes dans une situation
sociale donnée : processus de communication sont fondamentalement
sociaux, déterminés par des interactions. |
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II) Déterminants (facteurs influençant) de la communication | |||
facteurs liés aux interlocuteurs : variable d'ordre psychologiques | |||
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motivation : pourquoi un émetteur commmunique, pourquoi la cible
accepte de subir et communique - besoins - la personnalité La communication différ selon ces facteurs |
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facteurs cognitifs | |||
facteurs
relatifs à la cognition (connaissance). en psychologie, c'est le
processus mis en oeuvre pour étudier les informations de l'environnement.
perceptions qu'on a d'autrui par des critères qu'on a appris à
avoir.besoin de construire une image par des raccourcis, catégories
qu'on a dans notre esprit (accent, vêtements, physique etc.).cela
influe sur lacommunication de cette personne. chaque personne a un mode
de traitement de l'information qui dépend de ces expériences
passées (image de soi, ce qu'on aime, ses problèmes, ses
schémas, ses réactions) Donc après intégration d'autres ionformations, stéréotypes, le mode de communication sera influencé. Les raccourcis mentaux induisent en erreur mais sont efficaces . ces raccourcis peuvent être heuristiques (accidents d'avions, automobiles). exemple, lors d'une enquête sur 100 personnes (dont 40 avocats, 60 ingénieurs, personnes qui lisent pourtant beaucoup), on a demandé parmis l'avion ou la voiture, le moyen de transport qui provoque le plus de déces. Seulement 40% ont donné le réponse exacte : la voiture . La médaitisation des accidents d'avions induit un biais d'erreur. Les variables cognitives de l'emetteur diffèrent parfois de celles du récepteur. |
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facteurs sociaux | |||
Ils peuvent influencer le discours | |||
facteurs influents sur le code et canal utilisés | |||
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variables objectives : qualité de la communication est fonction
du code, de la pertinence de la nature de l'information échangée.
exemple : icones, représentations. dans l'audiovisuel : codes appropriés
au public, attention aux termes utilisés. - variables psychologiques (psychosémantiques) : associations qui peuvent bloquer ou favoriser la communication. l'utilisation d'un certain mot peut provoquer une position idéologique que peut avoir l'émetteur (exemple les mots flic, police, gardiens de la paix qui désignent la même personne) interfère dans la communication et dans la perception du message, et provoquer la décision d'écouter davantage ou d'arrêter la communication. |
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III) Aménagement matériel de l'espace | |||
il est fortement socialisé. disposition qui inbstitutionalise le dialogue, l'échange. exemple, la salle de cours favorise davantage le dialogue qu'un amphithéatre (écoute mais peu d'échanges). Le lieu a une influence et son choix n'est pas anodin. | |||
biblio : | -
"Les chemins de la persuasion", Kapferer J.N., Dunod, Paris,
1984 - "La Persuasion" de Yzerbyt Vincent, Olivier Corneille - "Les fondements de la communication humaine". Devito (Joseph A.) ; Tremblay (Robert) |
C) Qu'est-ce que la communication persuasive ?
Communiquer
entre les humains, échanger des idées, donner un ordre,
faire des promesses, peresuader... persuader : c'est faire changer l'attitude ou l'opinion d'autrui |
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I) La communication persuasive | ||||||||||||||
C'est un type de communication particulier.Le
message est constitué de façon à influencer les
attitudes, les opinions, le comportement d'autrui. La communication
a ici un sens unique, linéaire.Le récepteur n'a pas l'occasion
d'exprimer et défendre son point de vue, de répondre au
message, d'argumenter. |
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II) Changement d'attitude | ||||||||||||||
La psychologie sociale
a étudié la communication persuasive à travers
le changement d'attitude.Pourquoi cette étude ? en agissant sur
lecomportement d'autrui, on n' agit pas de façon directe, comme
dans la théorie behavioriste. Pour les comportementalistes, l'objet
d'étude est le comportement observable, de l'extérieur.
Comment le sujet
a traité le stimulus ? Vision , perception de l'environnement
est différente selon la personne (soldat ou touriste par exemple).
La perception est une activité interne cognitive. le stimulus
agit en fonction de la perception (exacte ou non, la savoir, l'imagination,
la religion...).La notion d'attitude est imporatnte car considérée
comme une prédisposition à l'action. |
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On suppose qu'il y a un lien entre les éléments de construction d'une structure comprenant trois dimensions : | ||||||||||||||
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composante cognitive (je sais, je crois, je pense que...) - dimension affective (j'aime, je n'aime pas, j'apprécie...) - dimension comportementale |
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Ces éléments sont reliés: si on agit sur un, cela suffit pour agir sur l'ensemble de la structure : action sur la cognition ( faire passer du savoir), influence l'affectif ou non puis le comportement. | ||||||||||||||
III) Recherches sur la persuasion | ||||||||||||||
Développée aux etats Unis, période où le gouvernement s'intéresse aux mécanismes de propagande utilisés pour leur profit contre une propagande nazie. Recherche développée dans le domaine de l'analyse des contenus des médias. Il faut dégager un contenu manifeste et un plus latent pour contrecarer les idées nazismes. des recherches commanditées par les etats unis en vue d'applications pas uniquement théoriques. exemple : Karl HOVLAND, université de Yale a effectué des recherches suivant le modèle connu de l'étude de la communication de masse proposé par Lasswell :
il ne s'agit pas d'une simple transmission.il y a plusieurs modèles ( publicité, communicatuer, enseignants..) |
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Qui ? |
l'emetteur,
source du message. Recehrche sur le changement d'attitude. La
source est un agent d'influence à l'origine du message présenté.
La source a des caractéristiques étudiées qui peuvent
influencer le message (exemple : la compétence de la source peut
augmenter la crédibilité du message.La volonté
peut montrer l'intention manifeste de persuader.) Manifester l'intention
de convaincre : Le récepteur accorde de laconfiance si la
source parait objective, désintéressée, partiale,
honnête sans intention de manipuler. si elle veut convaincre à
tout pris, position de défense du récepteur car dans la
société, la personne influençable est mal perçue.
Parfois, cela est plus compliqué car tout lemonde ne comprend
pas forcémenet le message, ou discours.cela nécessite
de montere son intention de persuader : (exemple : le respect de la
nature, ne pas jeter de détergent). Mais sile public est apte
à comprendre le message, mieux vaut ne pas déclarer ses
intentions de persuasion. |
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Dit quoi ? | le
message :
élement central du schéma de la communication. Moyen conçu,
fabriqué pour persuader autrui. Dans la plupart des cas, il est
verbalemais peut être sous d'autres formes (images ...).En dehors
du fait de parler de quelqu'un de quelque chose,on indique la position
dela source vis à vis du problème tarité. Cette pôsition
diverge souvent de celle du récepteur : arguments variés
pour soutenir la position, recherchant l'effet sur les attitudes. Etude des caractéristiques du message : clair, compréhensible au public adressé, jargon scientifique pas pour tout public (exemple pour vulgariser, utilsation du langage à laporté de tous, se référer à ce qu'on a en commun). Deux points existent au delà du contenu : la construction et la tonalité |
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- la construction : | ||||||||||||||
unilatéralité
/ bilatéralité Par quoi
commencer : son
point de vue en premier ? Conclusion implicite
ou explicite ? |
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* Approche neo-behavoriste
: neo car ici importance au sujet contraiement aux théories behavoristes
qui ne se préoccupe que des élements extérieurs,
sans prise en compte du sujet. le concept d'unilateralite ou bilatéralité
tient compte du niveau intellectuel du sujet, indépedemment del'environnement. |
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la tonalité
: tonalité
affective ou effrayer pour convaincre ? (à venir) |
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Le canal |
Des recherches ont montré qu'il n' y avait pas de média préférable à d'autres car cela est fonction du public visé. Mais à priori, le face à face, semble le meilleur (soi même face au public). Plus le media est proche de lasituation de face à face, mieux c'est. si le message est écrit, il pert en efficacité. si le sujet est "facile" : audiovisuel, audio, s'il s'agit d'un large public. il faut choisir le support leplus approprié pour le public visé et la canal (exemple, communication sur les nouveaux supports ). exemple pour les noms scientifiques, la vulgarisation scientifique utilise tous les supports : schémas, diporamas, films, posters, théâtre...Evaluer les enseignments à distance, et les effets du Monde virtuel.exemple, les émissions de vulgarisation pour des publics sensibilisés qui ont augmenter l'écart entre scientifiques et non scientifiques ! Le canal peut-il se substituer à la personnne ?
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l'environnement |
En psychologie, les personnes font une association entre l'environnement et les personnes. exemple au restaureant, une ambiance générale avec la présence de personnes. cette ambiance associée aux personnes peut être associée par une communication égrable pour l'acceptation du message : exemple :les campagne électtorales dans des ambiances agréables, de fête produit des effets sur l'acceptation du message.
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le récepteur | Voir
l'approche "néo -behavioriste" de Marc gyre sur la réception,
phase cruciale de la persuasion : attention, compréhension et acceptation. exemple de la vente par correspondance : attirer l'attention (vous êtes la seule....), publicité agréable sur nos goûts : élements de base pour attirer notre attention. Cela ne veut pas dire que le message est compris ! des études ont montré que plus de 50% des publicités sont non comprises par les adultes. On peut accepter ou refuser un message. L'intelligence joue de façon différente sur le message, on le comprend mieux, mais on peut le rejeter davantage. Dans les premières recherches menées, on a mésestimé le rôle du sujet. L'approche "néo" a permis de prendre en compte le sujet et pas seulement son environnement. Celui-ci a un rôle actif dans ce processus (activité mentale). On a commencé à s'intéresser à la réception des sujets face au message, à la persuasion ou conclusion tirée par le sujet dû à ses argumentations ou contre-argumentations. Dans la nouvelle approche cognitive, on perçoit mieux le rôle actif du sujet dans la persuasion, lui même agent de sa propre persuasion. |
I) Introduction | ||
La persuasion peut s'effectuer par deux
voies : |
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II) voie centrale - systématique | ||
Adoption d'une attitude qui résulte d'un examen attentif des éléments en faveur d'une position. La persuasion est fondée sur une base d'analyse du comportement du message : face à un message, on génère des arguments qui génèrent des contre-arguments. Le changement d'attitude est la conséquence de l'analyse que j'ai faite du message. | ||
III) voie périphérique - heuristique | ||
Adoption d'une attitude non pas d'analyse du message mais ce qu'il y a autour. Les éléments externes. Les heuristiques sont des raccourcis mentaux, schémas ou représentations mentales (belle, compétente, intelligente, expert = personne de confiance etc.). On ne se base pas sur le contenu du message, pas sur les chiffres, mais sur le fait qu'ils existent. | ||
III) Differences de ces deux types de persuasion | ||
La première dure. Je résiste ultérieurement au changement, je suis pour ou contre. La seconde ne dure pas. Pourquoi accepte-t-on l'une ou l'autre voie ? il s'agit de facteurs dépendants de la personne ou sa situation. | ||
- facteurs liés
à la situation : ce qui rend sayant le message sont les éléments
périphériques : exemple en audiovisuel, une personne belle
peut provoquer davantage que le sujet soit traité par des éléments
périphériques qui eux même favorisent la probabilité
que le message soit traité de façon périphérique. |
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- facteurs liés au sujet du message : Plus le sujet implique par le contenu du message et ses conséquences et plus il motive à fournir des efforts cognitifs ayant pour but d'évaluer la pertinence de l'argumentation. Inversement, moins il implique la cible, moins les effeorts cognitifs seront générés, plus il favorisera des indices périphériques. - besoins cognitifs : caractéristiques individuelles. Degré selon lequel une personne prend plaisir dans le travail congnitif, recherche des stimulations intellectuelles. Ceux qui manifestent un penchant pour les exercices intellectuels, examinent plus volontier les arguments d'un message qui modifient leur attitude au regard des mérites de la communication. Plus le besoin cognitif est grand, plus le traitement systématique sera important au détriment du traitement heuristique et phériphérique. - relation avec l'objet attitudinal : Certains objets renvoient plus prioritairement à des fonctions spécifiques ( tramway = fonctions utilitaires ou attitudes écologiques, selon les personnes ). Les attitudes ne renvoient pas forcément à la même fonction pour tout le monde. Une attitude positive à propos d'une voiture peut remplir une fonction instrumentale chez certaines personnes et une fonction sociale pour d'autres (signes extérieurs de richesse ou niveau social). Les messages n'auront pas la même effeicacité selon que les arguments renvoient prioritairement à une fonction plutôt qu'à une autre. |
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IV) Importance si le changement d'attitude est généré par voie périphérique ou centrale ? | ||
La voie empruntée par la cible a des conséquences directes sur la durée du changement. | ||
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le traitement heuristique provoque des changements non durables, avecune
résistance faible face aux nouvelles tentatives d'influences - le traitement central provoque des changements durables qui résistent aux nouvelles tentatives d'influences et orientent davantage le comportement. |
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Il faut donc agir sur la situation et pas uniquement le sujet ! Insister sur les indices périphériques pour interpeller la cible mais les évieter pour rester influent sur le long terme. |
I) Introduction | |||
Faire une différence
entre l'affect faisant parti intégrante du message (appel à
la peur, humour, inhérent au message et l'affect, élément
extérieur à la communication (humeur de la personne ou
autres...). |
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II) Affect | |||
Se référer
à Forgas qui considère que c'est le terme générique
qui appartient aux émotions, humeur et sentiments. Quand on induit les affects dans les situations experimentales (films drôles), on connait la cause. On ne sait pas s'il s'agit d'émotion, d'humour, car l'origine est diffuse. il s'agit ici d'affects spécifiques. Si le message suscite
des affects positifs, il sera plus facilement accepté. Si on
veut que la cible le rejette, il faut susciter des affects négatifs
: affects inhérents. Cela est valable pour l'humeur : on obtient
plus de choses avec une personne de bonne humeur, même s'il s'agit
d' affects extérieurs. |
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III) Comment l'humeur de la cible peut affecter le changement d'attitude ? | |||
L'humeur influence la mobilisation des ressources cognitives. - humeur positive
: traitement des messages de façon superficielle Les premières
recherches dans le domaine comparent des états émotionnels
positifs à des états négatifs. Mais d'autres recherches
relativement récentes (1994) ont montré que les émotions
négatives n'ont pas toutes les mêmes effets sur la persuasion.
La tristesse fait traiter l'information de manière systématique.
La colère et l'anxiété peuvent faciliter un traitement
heuristique. Dans la colère, il y a une activation physiologique.
deux influences : valence (positive ou négative) et activation
physiologique à prendre en compte. |
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IV) Autre courant en psychologie sociale basé sur le comportement | |||
Pourcertains il faut participer.Jeux de roles pour des sujets antitabac : exemple groupe qui joue le rôled'un fumeur qui vachez le médecin et apporend qu'il a un cancer. un groupe ouait le rôle, l'autre était spectateur. l'étude a montrer que ceux qui ont participé ont nettement diminuer leur consommation. Le comportement peut donc agir sur l'opinion. |
F) Théories de la dissonnance cognitive
Recherche de la conviction, cognition de mon comportement cohérent, besoin interne de cohérence
I) Définition | |||
La dissonnance cognitive est définie par L. Festinger comme un état pénible dû à la présence simultanée de deux cognitions inconsistantes, ou deux idées non cohérentes entre elles. |
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II) Elements et postulats de base | |||
- Les cognitions : toutes les connaissances opinions ou croyances que quelqu'un peut avoir sur le Monde, les autres, sur lui même, sur son comportement. - Les cognitions peuvent n'avoir aucun rapport entre eux. Mais s'ils en ont, ce rapport est consonnant ou dissonant. deux éléments sont dissonants si l'un des éléments est incompatible avec l'autre. - Il existe des états privilégiés des systèmes cognitifs, d'équilibre de consonnance. - Tout écart des états privilégiés des systèmes cognitifs par rapport à un état. |
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Deux chercheurs Beauvois et Joule expliquent le changement d'attitude par la rationalisation de leur comportement des conduites effectives et non de cohérence cognitive. Ils restituent ce courant de recherche, comportement ultérieurs intégrant un paradygme des cognitions...(????) |
G) La théorie de l'engagement : soumission sans pression
I) Introduction | |||
La soumission sans pression renvoie au fait qu'on peut obtenir de quelqu'un qu'il émette un comportement coûteux sans exercer sur lui de pression,mais par un moyen détourné qui consiste à obtenir préalablement un comportement peu couteux qui a peu de chance d'être réfusé. (un comportement peu couteux = un comportement engageant la personne et non seulement ses idées) |
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II) Théories de l'engagement (Kiesler 1971) | |||
- Elle
met en avant les comportements préalables (actes préparatoires)
que l'on peut obtenir d'un individu (copine invitée à une
manifestation (non couteux) puis tracts, etc.) - Elle considère que l'individu est engagé par ses actes et non par ses idées.Pour KIESLER, l'engagement correspond à un lien existant entre l'individu et ses actions. - Elle porte dur des axes non problématiques. De tels actes, pour peu qu'ils soient engageants sont générateurs d'activités cognitives et comptables (signer une pétition contre le travail des enfants...) |
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III) Conditions d'émission d'un acte générateur et engageant | |||
-
liberté - avoir des conséquences - public - trouvant peu de justifications (exemple demander l'heure, une adresse : acte peu couteux m'engageant dans mes actes plus couteux, acheter un livre étudiant. |
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IV) Effet de l'engagement | |||
stabilité
congnitive : rendre
les convictions plus résistantes au changement stabilité comportementale : rendre plus probable l'émission ultérieure d'actes plus couteux allant dans le même sens. |
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V) Quelques techniques ou procédures de soumission librement consentie | |||
le pied dans la porte : principe qui consiste à engager l'individu d'abord dans une activité mineure pour l'engager plus facilement dans une concession majeure qui est le vrai but recherché. la technique d'amorçage : amener quelqu'un à prendre une décision dont il ne connait pas les implications négatives, lui faire connaître ensuite ces implications négatives et lui demander s'il maintient sa décision ! le leurre : principe qui consiste à ammener l'individu à prendre la décision d'émettre un comportement dont il attend certains avantages, puis on lui apprend qu'il n'a plus la possibilité d'émettre ce comportement et on lui offre l'opportunité d'émettre un comportement de substitution qui ne présente pas pour lui les même avantages. (soldes : manteau 300 euros à 50 euros : susciter le besoin. Puis rupture de stock, mais en substitution, d'autres modèles non soldés...) |